MONACO

Monaco : Le cirque s’expose dans la ville

Une parade mystérieuse

Des traces de pas d’éléphants sur le bitume? Habituez-vous à les croiser dans les jours qui viennent. Une parade mystérieuse est prévue pour relier les boutiques participant à l’exposition.

Empreintes d’éléphants, de fauves et de chaussures de clowns habilleront les trottoirs des Moneghetti au Larvotto.

Enfin un quiz correspondant aux photos affichées permettra aux clients de gagner des invitations aux événements de l’année. Le spectacle n’a plus qu’à commencer.

Cédric Verany

Monaco Matin

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le bourdonnement des abeilles africaines peut faire fuir un troupeau d’éléphants

Des chercheurs de l’Université d’Oxford ont découvert que le bourdonnement des abeilles africaines peut faire fuir rien de moins qu’un troupeau d’éléphants.

« Près de la moitié du troupeau d’éléphants a fuit à peine dix secondes après avoir entendu l’enregistrement du bourdonnement d’abeilles », affirme Lucy King, zoologue britannique responsable de cette étude réalisée au Kenya.

Parce qu’il est déjà arrivé que les abeilles attaquent en groupe des éléphants, « ceux-ci s’en souviennent et ont peur ».

Buffles et éléphants s’attaquent aux cultures à Yambula et Wahanga

Territoire de Basoko en Province Orientale :

Buffles et éléphants s’attaquent aux cultures à Yambula et Wahanga

Les buffles et éléphants s’attaquent souvent en pleine journée aux cultures des paysans de Yambula et de Wahanga, les deux villages du territoire de Basoko où s’observe depuis plus de deux semaines le phénomène.

Les ravages de champs sont devenus si habituels que la plupart des villageois ont abandonné leurs plantations.

Les pachydermes poussent leur toupet plus loin jusqu’à s’attaquer aux réserves stockés dans les greniers.

Faut-il abattre certains de ces animaux pour épargner la population d’une disette certaine ?

Le service de l’Environnement préconise de repousser ces bêtes, loin de ces villages, sans les agresser. Ainsi s’interroge-t-on, pour qui réalise-t-on la Conservation.

N’est-ce pas pour les hommes ?

 

Afrique : Eléphants, fourmis et acacias

équilibre et fragilité de l’éco-système

Les relations entre les grands herbivores, comme les éléphants, avec les acacias et certaines variétés de fourmis en Afrique, sont exemplaires du bon fonctionnement de l’écosystème et de ses fragilités.

Les acacias sont des arbres très communs dans les régions tropicales, sub-sahariennes et la savane en Afrique.Ils ont de grosses épines qui servent de nids à trois espèces de fourmis piqueuses. Certains arbres sont pourvus de centaines de ces épines creuses et abritent plus de 100.000 fourmis chacun.

Ces insectes et les acacias bénéficient mutuellement de cette cohabitation : Les fourmis peuvent y trouver un abri ainsi que leur nourriture avec le nectar produit par les feuilles de l’arbre. Dans la mesure où les fourmis s’érigent en défense contre toute agression des acacias qu’elles habitent, ces arbres bénéficient d’une protection contre les mammifères herbivores comme les girafes et éléphants qui ne peuvent pas ainsi totalement les détruire.

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Autres pistes de safari

Le Kenya est à feu et à sang, et y séjourner est vivement déconseillé.

Plus au sud, le très beau Botswana permet d’admirer avec ses enfants, sans risques de maladie ou de conflit, la faune locale.

Certains profitent de la redistribution des cartes du safari, pour faire preuve d’originalité.

Dans ce registre, deux pays s’affichent.

Le Cameroun d’abord, avec, au Nord, la grande réserve de Wasa (hébergement authentique), et des visiteurs jamais trop nombreux. Environ 2 000 € la semaine.

Ou bien tripler la mise pour viser les parcs de la Zambie.

Dix jours sont alors nécessaires à cause des escales obligées pour gagner Lusaka puis les réserves, avant de filmer éléphants, girafes, rhinocéros, gnous, lions… et des milliers d’oiseaux. Le pays est réputé pour ses safaris pédestres.

Voilà qui donnera le temps d’espérer que le Kenya, inventeur du safari (le mot vient du swahili et signifie voyage), retrouve la sérénité qui sied si bien aux grands espaces africains.

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Animaux du Botswana

Les livres du voyage « Botswana, lumière d’un delta » est un ouvrage au cœur de l’Afrique Australe, entre photographies animalières et dessins au trait.

Quatre ans après « Kenya », la collection « Espaces Sauvages » des éditions Cacimbo se
déplace vers l’Afrique australe avec cet ouvrage d’ Olivier Michaud et de Bertrand Martel, tous deux photographes et explorateurs depuis plus de 20 ans.

Les images d’Olivier Michaud saisissent la beauté des paysages et d’étonnantes scènes de
la vie sauvage.

Lions, antilopes, éléphants et babouins ont la part belle.

En écho, Bertrand Martel dresse le portrait des figures animalières pour recréer les sensations fugitives des grands espaces africains mais aussi suggérer aux lecteurs les ambiances mythiques de l’Afrique : larges étendues, aridité de la savane, troupeaux d’éléphants s’abreuvant au soleil couchant !

Enclavé entre la Namibie, le Zimbabwe et l’Afrique du Sud, d’une taille similaire à celle de la France ou du Kenya, le Botswana est devenu l’une des destinations les plus prisées des amateurs de safari photographique en raison des bonnes conditions d’observation de la faune et de la préservation de ses écosystèmes.

Botswana, lumières de delta, par Olivier Michaud et Bertrand Martel, aux Editions Cacimbo , 240 pages – 178 photographies et 31 dessins : 52 euros.

Vietnam: deux tigres, passagers insolites d’une voiture à Hanoï

Il y a 5 joursHANOI (AFP) — La police, sur la piste d’un trafic d’animaux, s’est trouvée nez à nez avec deux tigres lors du contrôle d’un véhicule à Hanoï, a rapporté mercredi la presse officielle vietnamienne.

Les deux félins, qui avaient été endormis par les trafiquants à l’aide de sédatif, avaient commencé à se réveiller et à s’attaquer à coups de dents à l’intérieur de la voiture.

Les policiers ont dû de nouveau administrer un sédatif aux animaux de 50 kg pour les transporter dans un refuge, selon le journal An Ninh Thu Do.

En perquisitionnant le domicile des trafiquants dans la banlieue de Hanoï, les policiers ont découvert quatre carcasses de tigres dans un frigo, sept ours vivants, des cornes de rhinocéros et des défenses d’éléphants.

Deux personnes ont été arrêtées.

Plaque tournante du trafic d’animaux sauvages entre le Laos, le Cambodge et la Birmanie, le Vietnam alimente notamment le marché chinois.

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des éléphants menacés par les opérations d’APP dans la forêt de Bukit Tigapuluh

Des tigres, des éléphants et des orangs-outans, qui vivent encore à l’état sauvage dans l’île de Sumatra, sont menacés par les opérations d’APP dans la forêt de Bukit Tigapuluh ont précisé dans un communiqué les organisations, dont le Fonds mondial pour la nature (WWF).

Le groupe Asia Pulp and Paper (APP), un des géants mondiaux de la production de papier et de pâte à papier, est en train de raser de façon illégale une immense forêt indonésienne où vivent des espèces en voie dec, a affirmé une coalition de cinq ONG écologistes.Selon des défenseurs de l’environnement l’Indonésie perd en surface boisée l’équivalent de quatre à six terrains de football chaque minute.

08.01.08 | 10h49

http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-33819713@7-50,0.html texte integral

Afrique / odorat de l’éléphant

Les éléphants d’Afrique suivent leurs congénères “à la trompe” – PARIS (AFP)

Un groupe d'éléphant dans une réserve en Afrique du Sud (© AFP/Archives - Alexander Joe)

Les éléphants d’Afrique sont capables de garder en mémoire l’odeur d’au moins dix-sept congénères et de garder leur trace dans la savane, selon une étude réalisée dans le Parc national d’Amboseli, au Kenya, et publiée mercredi dans les Biology Letters de la Royal Society britannique.

En effet, indiquent les auteurs de ce travail dirigé par Richard Byrne, de l’université britannique de Saint Andrews, les pachydermes observés ont su identifier d’autres membres de leur troupeau, apparentés ou non, en reniflant des échantillons de terre auxquels était mélangée l’urine de ces derniers. Et cela, quel que soit l’emplacement de ces traces olfactives, dans des endroits prévisibles ou totalement inattendus.L’étude des chercheurs de l’université écossaise semble indiquer qu’ils gardent la trace de leurs compagnons en reniflant avec leur trompe les odeurs abandonnées lors de leur marche à travers la savane.

Les éléphants d’Afrique vivent en société matriarcale. Les deux sexes, une fois adultes, se séparent. Ils forment donc des groupes sous la dominance de la femelle la plus âgée, plus ou moins apparentés avec les autres, et ces groupes familiaux se scindent et se reforment régulièrement.

Publié le: 05/12/2007 à 09:59:00 GMT source AFP

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