Buddleia davidii Black Night

Originaire de Chine, le buddleia davidii Black Night(ou arbre aux papillons) d’un violet très foncé est le numéro 05 de la haie du chemin d’ Éléphant Gris.
Parfumé, très florifère d’où son autre appelation de “lilas d’été”. est facile à cultiver.
les buddleia forment de généreux buissons, souvent plus larges que haut, bien touffus, dont les branches se couvrent dès juin de belles panicules de fleurs colorées.
“Arbre à papillons” en raison de l’attirance de ses fleurs pour les papillons, le nom Buddleia est dédié au révérend Adam Buddle, médecin pasteur et botaniste amateur anglais (1660-1715).
“Davidii” rappelle le Père missionnaire français David (1826-1900), qui explora la flore chinoise et le découvrit en Chine en 1869.
La plante retomba dans l’oubli jusqu’à ce que le docteur Augustine Henry (1857-1930), botaniste anglais, la redécouvre en 1890 dans la province de Se-Tchouan.
Les premières graines parvinrent en Europe en 1893.

il convient de couper les rameaux ayant porté des fleurs au fur et à mesure que celles-ci fanent afin de faciliter l’épanouissement de nouvelles fleurs tout au long de l’été.
Les branches mortes se taillent au printemps.
Pour régénérer son buddleia on peut le tailler au ras du sol.

Eleagnus limelight

Numéro quatre de la haie plantée en quinconce le long du chemin de ronde d’ Éléphant Gris dans sa maison Elefante Hiesel’
Eleagnus limelight arbuste rustique de la famille des Eleagnacées, persistant à floraison crème parfumée en septembre/octobre
Il aime être stimulé de temps en temps par une taille qui lui procure un surcroît de vigueur et permet le développement d’un grand nombre de nouvelles pousses, toujours plus joliment colorées.
Le fruit de l’éléagnus peut être consommé à pleine maturité.

Les éléagnus apportent toujours une précieuse touche de lumière au jardin.

L’éléagnus est aussi connu sous de nom de chalef [Vient du saule, en arabe, dont on l’a cru apparenté.] ou d’olivier de Bohème.

Ribes sanguineum atropurpurea

La troisième position du chemin de ronde d’ Éléphant Gris dans sa maison Elefante Hiesel’ est occupée par un Ribes sanguineum atropurpurea
communément appelé Groseillers à fleurs dont la floraison rouge agrémente mars/avril

Originaire d’Amérique du nord de la famille des Grossulariacées, Saxifragacées, le ribes sanguineum est un
arbuste à fleurs vivace à feuillage caduc, rustique.

Le groseillier à fleurs ou faux-cassis est un arbuste très florifère qui est du plus bel effet dans une haie libre.
Il est de culture facile et ne demande pas d’entretien spécifique. On peut le tailler pour le rajeunir ou pour le remettre en forme mais après la floraison.

Syringa Microphylla superba

Au fil des jours, je vais vous laisser découvrir la haie jouxtant le chemin de ronde d’ Éléphant Gris dans sa maison Elefante Hiesel’,
en poussant le portillon, on découvre
le Syringa Microphylla superba qui est une variété de lilas à petite feuilles à floraison pourpre en mai/juin puis encore en septembre.
c’est un arbuste originaire de chine ou corée, de la famille des Oleaceae au port arrondi et léger et au feuillage caduque.

Syringa Microphylla superba est une sélection obtenue en France en 1934

Josiane Balasko fête ses 58 ans !

Josiane Balasko
Josiane Balasko (de son vrai nom Josiane Balasković), née le 15 avril 1950 à Paris issue d’une famille yougoslave, est une actrice, réalisatrice,scénariste, romancière, dialoguiste et costumière française.
Josiane Balasko est la fille Fernande et du père Ivan Blaskovic immigré de Croatie qui décède d’un cancer du poumon quand Josiane a 14 ans
À la mort de son père, la jeune Josiane sera élevée par sa mère et sa grand-mère.
Enfant, elle grandit dans une ambiance modeste dans le bar familial. Elle joue dans sa jeunesse des rôles d’anti sex symbol.
Avant de rejoindre Le Splendid ou cataloguée ‘petit boudin’ elle est cantonnée aux rôles de bonnes copines à problèmes, ou de mochetés de service, elle a participé aux cours de Tania Balachova.

Elle enchaîne les films à succès avec « Les bronzés », « Les bronzés font du ski » ou encore « Le père Noël est une ordure ».

Mais Josiane Balasko a envie d’autre chose.
Ainsi elle se lance dans la réalisation et sort son premier film en 1985 « Sac de nœuds ».
Elle poursuit plus tard avec « Ma vie est un enfer » puis « Gazon Maudit » qui remporte un vif succès.
N’abandonnant pas sa carrière d’actrice, elle obtient le césar de la meilleure actrice en 1989 pour sa prestation dans « Trop belle pour toi ».
On la verra par la suite dans « Une nuit d’ivresse » ou encore dans « absolument fabuleux ».
Elle nous montre une nouvelle facette de son jeu d’actrice dans « Cette femme là » de Guillaume Nicloux.

Membre des Enfoirés ( l’association caritative fondée par Coluche ), Josiane Balasko est particulièrement franche.

Monologue du gros éléphant

Monologue du gros éléphant

Qui a dit que j’étais gros ?
Dit, en faisant l’outragé affecté, un éléphant.
Un éléphant est, de fait, majestueux,
Il n’y a qu’à se référer à mes aïeux.

A la rigueur un peu corpulent,
un peu grand, cela je le consens.

Comment peut-on oser me trouver gros ?
Moi qui ne suis qu’ harmonie, c’est une hérésie…

Telles de véritables piliers de cathédrales
mes pattes, sur coussins, richement ongulées
donnent à mon déhanchement une allure théâtrale
toujours imitée, mais jamais égalée.

Ma trompe est outil tout en muscle
que je manie à ma guise
pour atteindre toutes les hauteurs, toutes les splendeurs,
merveille de la nature,
je vous assure,
que l’on ne retrouve nulle part ailleurs.

Mes oreilles, véritables parasols servant d’éventails,
sont tout à fait en proportion avec ma taille.
D’ailleurs n’est ce pas moi le mammifère
qu’en Asie, Afrique et ailleurs l’on vénère ?
Vraiment notre pachyderme n’en croit pas ses oreilles
qu’il fait battre pour mieux montrer leurs merveilles.

Je ne demande pas d’éloges
ni de toge
C’est grotesque ! dit notre éléphant avec éloquence
faignant l’indifférence.
Mon appétit est proportionnel à ma taille,
il n’y a pas de faille.

Je me dépense sans compter de point d’eau en point d’eau
et ne me parlez pas de rétention d’eau.
Je ne suis pas gros !
Et n’envisage pas régime pour devenir tas d’os,
alors, plus un mot !

Je ne peux me montrer rachitique,
famélique, je suis idyllique
Eu égard à mon rang,
barrit notre suffisant éléphant,
Je me dois d’être élégant, bien portant.

Ma réputation est protection, force, sagesse ;
le colosse que je suis ne peut afficher faiblesse.

La maigreur fait peur, horreur,
Or moi, je suis de tous les honneurs.

Ma stature imposante, reposante, rassure ;
Ne me faites point injure en jouant les parjures,
Ne me faîtes point offense…
faute de goûter à mes défenses.

Reprenez vos propos
et convenons aussitôt :
Que je suis beau, grand, fier
et que, sans vous faire la guerre,
il n’y aurait plus de merveille, sur terre,
s’il y manquait le pachyderme géant qu’est l’éléphant débonnaire.

Qui a dit que j’étais maladroit ?
Mais cela est un autre débat …

© Michèle RUFFIN – États d’âme- novembre 2000
Qui a dit que j’étais gros ?
Dit, en faisant l’outragé affecté, un éléphant.
Un éléphant est, de fait, majestueux,
Il n’y a qu’à se référer à mes aïeux.

Horton, un éléphant un peu particulier…

Horton
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Un film américain de Jimmy Hayward et Steve Martino avec les voix en VO de Jim Carrey, Steve Carell, Adewale Akinnuoye-Agbaje, et la voix en VF de Dany Boon
Genre : Animation – Durée : 1H35 mn

“Il y a des jours où j’aimerais être ailleurs et nulle part. Débrancher oublier, m’oublier. Perdre la mémoire quelques temps, ne reconnaître plus personne. Ne pas être humaine, une poussière sans doute, un truc léger comme l’air, m’envoler dans les airs, n’attendre rien de personne, n’exiger même pas de moi…et si un gros éléphant se met en tête de venir me sauver moi la poussière !

Aussi petite que je sois, aussi insignifiante que je paraisse, lui m’entend, sent battre mon cœur, il me cueille, crie au monde entier -en tout les cas à son monde à lui- que j’existe, ses amis sont bizarres mais ils ont l’air si gentils alors je veux bien me laisser aller pour ne pas exploser en mille morceaux, perdre mes 96 filles et mon seul garçon et tous ceux qui ne croient que ce qu’ils entendent…”

article intégral Commentaire sur Horton :Idéal par temps tout gris

Horton qui est à l’affiche depuis une semaine en France.

Je me suis tellement retrouvée dans ses quelques lignes si poétiquement écrites par Reinette88 que j’ai eu envie de les faire partager…

manger un éléphant ! ?

une fois n’est pas coutumes, je vais parler aujourd’hui un peu plus de moi
ce matin j’ouvre mes emails et je lis :

“Bonjour,

Est-ce que vous savez comment on mange un éléphant?
….

Petit à petit.
Il paraît que ce sont les pygmées du Congo qui disent cela!

C’est peut-être pas vraiment une blague…
Mais c’est une bonne illustration pour tout plein de choses de la vie …
Je cherche une illustration, drôle, si possible pour illustrer cette grande leçon de philosophie.”


je lis, je relis, je ne sais si je dois rire ou pleurer et je commence à parcourir le net
pour répondre à cette personne.
et là je trouve en grand titre

Comment mange-t-on un éléphant
et je lis :
“On a quelque chose de très gros, l’éléphant, et un objectif, le manger. Comment y arrive-t-on? En le mangeant par petites bouchées! C’est tellement simple…
N’essayez pas de manger un quartier d’éléphant d’un coup. Ça ne passera pas. Par contre, une fourchette à la fois, c’est fou comment ça avance et comment on apprécie ce délicieux éléphant.”

j’avoue que jamais au grand jamais je n’ai même seulement envisager que l’on pouvait manger un éléphant et de me dire qu’il faut l’envisager comme une superbe leçon de philosophie me laisse perplexe….
mais où irait on sans un peu d’humour !

heureusement je vais au bout de l’article de ce blog et j’arrive à la rassurante conclusion
“Bref, que ce soit un éléphant, une montagne ou une rivière, il faut garder l’objectif en tête, mais de faire une stratégie et la découper en petites tâches simples. En réalisant ses petites tâches, on accumule les petits succès. On se sent bons et motivés à continuer. Il n’y pas déjà quelqu’un qui a dit que le bonheur est dans les petites choses ?” Bénabar dirait “on ne trouve pas le bonheur en lingot, mais en petite monnaie…”
donc j’ai trouvé le techno-blogue à Steph ! super et j’ai eu envie de le citer.

et je vais donc de ce pas continuer à chercher une image pour répondre à mon curieux mail.
sachant que pour manger un éléphant, il faut d’abord l’attraper…
attraper son éléphant !

Amazing Grace – The Irish Rovers’ Orchestra

Marie-Agnès Michel connue sous le pseudo de Maria
superbe dans cet
Extrait du concert du 10 Mai 2007 à Saint Pierre le Jeune (Protestant) à Strasbourg, Amazing Grace, thème mondialement connu, est arrangé ici pour le Irish Rovers’ Orchestra par Michel Kieffer.
Montage et Réalisation : Lucas Reverdy, Sabine Sabbagh
à écouter ou réécouter…

Un éléphant dans une bulle de savon… !

Aux États-Unis, à Perris, en Californie, un artiste a mis un éléphant dans une bulle de savon.

Fan Yang réussit à créer des bulles assez grosses pour qu’un éléphant puisse s’y tenir.

L’artiste devait présenter son exploit à Santa Ana, le mois dernier, mais des défenseurs des droits des animaux l’en ont empêché.

article intégral

Un éléphant dans une bulle de savon… !