La bouse d’éléphant recyclée !

La bouse d’éléphant recyclée ou comment envoyer des déjections animales pour entretenir l’amitié …

Très tendance les vœux sur des cartes au mode de fabrication original et écologique en bouse d’éléphant provenant du Sri Lanka ou du Kenya…

Avec ce papier, participez au maintien des éléphants dans leur habitat naturel !
De quoi entretenir l’amitié et respecter la tradition qui veut que l’on présente ses vœux à son réseau social pour les fêtes de fin d’année.
L’achat de ces cartes de vœux pour le moins originales contribue au financement des réserves et de la protection des éléphants. (le papier obtenu n’a pas d’odeur et il est 100% stérile !)
Il faut savoir que l’alimentation exclusivement végétarienne des éléphants produit des bouses contenant beaucoup de fibres. Ces bouses séchées et rincées permettent la récupération de ces fibres qui renforcées par des fibres naturelles végétales (paille de riz…) permettent d’obtenir des feuilles de papier.
(Un mâle de 5 tonnes mange 300 kg de végétation par jour et n’en digère que 44% … les 160 kg de dejections quotidiennes permettent de fabriquer 200 feuilles de papier recyclé.)

Elephant Poo Poo est une société qui prospère grâce aux bouses des éléphants en fabriquant cartes de voeux, blocs notes, cahiers, papier à lettres…
En vente en France sur le site Nature et Papiers

Par correspondance sur le site de l’Association Sens Afrique où les communautés villageoises recherchent des fonds pour développer un tourisme responsable.
Etre les acteurs et les bénéficiaires de cette économie permettrait de préserver leur environnement et leur mode de vie.

Alors prenez de bonnes résolutions pour 2009
et
D’ Afrique où d’ Asie, l’essentiel est de participer
envoyez de la bouse d’éléphant à vos amis, je suis sure qu’ils seront ravis… excellent moyen de joindre l’utile à l’agréable !

Le Laos, Pays du million d’élephants, craint de perdre ses derniers pachydermes

Jadis célèbre pour ses troupeaux d’éléphants, le Laos qui était surnommé “Prathet Lane Xane” (Pays du million d’éléphants) ne compterait plus que 700 animaux sauvages. Tant bien que mal, plusieurs ONG se battent pour repousser le spectre de la disparition de l’espèce
“Beaucoup de gens en Asie disent que les éléphants font partie de leur patrimoine national”
La condition des éléphants au Laos apparaît meilleure que dans la plupart des douze autres pays où vit l’animal: ils bénéficient de forêts vastes et une population humaine clairsemée. Mais comme ailleurs, c’est une course contre la montre. Les éléphants sont menacés par les braconniers, les constructeurs de barrages, les bûcherons et les paysans
Les éléphants domestiqués seraient environ 570, soit une baisse de 20% au cours de la dernière décennie.
A leur âge d’or, les éléphants faisaient office de camion, de taxi et de char d’assaut. Le Laos était un royaume qui avait réussi à conserver son indépendance en offrant des éléphants à la Chine et au Vietnam.
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ZIMBABWE • Dans l’éléphant, tout est bon ?

ZIMBABWEDans l’éléphant, tout est bon ?

Afin de réduire le nombre d’éléphants, qui nuisent à l’environnement, les autorités zimbabwéennes envisagent d’augmenter les quotas annuels de pachydermes à abattre. Elles souhaitent sécher la viande pour la rendre propre à la consommation humaine.

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Non mais, là…, si j’avais encore des doutes, je deviens vraiment végétarienne !

et rassurez moi dites moi que cela vous fait le même effet…

proverbe chinois ” Avec un coeur avide, un serpent peut même avaler un éléphant “

Buffles et éléphants s’attaquent aux cultures à Yambula et Wahanga

Territoire de Basoko en Province Orientale :

Buffles et éléphants s’attaquent aux cultures à Yambula et Wahanga

Les buffles et éléphants s’attaquent souvent en pleine journée aux cultures des paysans de Yambula et de Wahanga, les deux villages du territoire de Basoko où s’observe depuis plus de deux semaines le phénomène.

Les ravages de champs sont devenus si habituels que la plupart des villageois ont abandonné leurs plantations.

Les pachydermes poussent leur toupet plus loin jusqu’à s’attaquer aux réserves stockés dans les greniers.

Faut-il abattre certains de ces animaux pour épargner la population d’une disette certaine ?

Le service de l’Environnement préconise de repousser ces bêtes, loin de ces villages, sans les agresser. Ainsi s’interroge-t-on, pour qui réalise-t-on la Conservation.

N’est-ce pas pour les hommes ?

 

Afrique : Eléphants, fourmis et acacias

équilibre et fragilité de l’éco-système

Les relations entre les grands herbivores, comme les éléphants, avec les acacias et certaines variétés de fourmis en Afrique, sont exemplaires du bon fonctionnement de l’écosystème et de ses fragilités.

Les acacias sont des arbres très communs dans les régions tropicales, sub-sahariennes et la savane en Afrique.Ils ont de grosses épines qui servent de nids à trois espèces de fourmis piqueuses. Certains arbres sont pourvus de centaines de ces épines creuses et abritent plus de 100.000 fourmis chacun.

Ces insectes et les acacias bénéficient mutuellement de cette cohabitation : Les fourmis peuvent y trouver un abri ainsi que leur nourriture avec le nectar produit par les feuilles de l’arbre. Dans la mesure où les fourmis s’érigent en défense contre toute agression des acacias qu’elles habitent, ces arbres bénéficient d’une protection contre les mammifères herbivores comme les girafes et éléphants qui ne peuvent pas ainsi totalement les détruire.

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