Merde alors !

Merde alors, excusez l’expression, mais les éléphants n’arrêteront jamais de nous surprendre…

Au Japon, Le Zoo d’
Utsunomiya recycle les excréments de son éléphant, ils sont offerts empaquetés après stérilisation sous forme de petits sachets aux étudiants en guise de porte- bonheur.

Alors que nous utilisons tous déjà le papier recyclé à base des bouses d’éléphant,
que Insa, artiste londonien, nous confectionne des chaussures pour son exposition…
les crottes d’éléphant pourraient bien devenir le carburant du futur !

Prés observation du système digestif des éléphants et plus précisément de leur intestin, les scientifiques néerlandais ont à base d’excrément d’éléphants mis au point un nouveau biocarburant en mélangeant les enzymes des selles des éléphants avec du compost végétal.
Et ils ont réussi à convertir le tout à 90% en éthanol soit deux fois plus que ce qui est en ce moment réalisable.
la solution pour réduire les émissions de gaz à effet de serre par les véhicules ?

Encore une raison supplémentaire de protéger ces animaux.

Le groupe néerlandais DSM envisagerait de développer cette technique dans ses usines européenne et aux Etats Unis.
L’avantage de l’exploitation de la bouse d’éléphant est de permettre de ne pas entrer en compétion avec les denrées alimentaires comme la canne à sucre ou le mais et d’éviter ainsi la hausse de ses produits.

How elephants could solve the biofuel problem

Carburant : l’herbe à éléphant bientôt dans notre réservoir ?

« Le plein de miscanthus, s’il vous plaît ! » Et si cette plante asiatique devenait notre carburant providentiel ?
Cette plante asiatique est plus connue sous le nom d’herbe à éléphant, « parce qu’elle mesure trois à quatre mètres de haut et permet aux éléphants de se cacher ».
« Un hectare de miscanthus a le même pouvoir calorifique que douze tonnes de charbon ou 7 300 litres de fuel »,

« On oublie de parler de l’agro-carburant de 2e génération. Et pourtant… Tous les scientifiques sont unanimes : jusqu’à ce jour, le miscanthus présente le meilleur bilan en termes agronomique, écologique et économique ! »
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