Chiffons Papillons
me fait une joie immense
ce matin, je découvre que j’ai gagné le droit d’adopter un… petit dragon (euh, une dragonne pour être précis) !
moi qui ne gagne jamais rien
je vais avoir une création rien que pour moi (merci Lise)
oui je sais il est loin le temps de jouer à la peluche
mais moi j’ai renoncé à l’idée que je serai adulte un jour
quand je serai centenaire (cela commence à se rapprocher lentement mais surement…)
on lira “la vieille qui a gardé son âme d’enfant”, je n’ai aucun mérite, je n’arrive pas à grandir…
Je pense sérieusement qu’un grain de folie s’est glissé dans mes rouages à la conception, et depuis je vis avec !🙂
vous voulez voir l’objet de mon bohneur ? Il est ici
et profitez en pour visiter un peu ce blog sympa comme tout !
Par ailleurs ce qui me fait barrir de bonheur aussi
c’est de voir la “jalousie” de mon entourage qui se moque toujours de moi avec ma vie virtuelle quand elle se révèle n’être pas si virtuelle que cela….
Que voulez vous en plus d’être une gamine je suis une vilaine depuis ma plus tendre enfance…
En République Dominicaine, l’art ethnique s’impose comme étant réalisé sous l’emprise de plantes hallucinogènes (inhalation de la poudre de la Cohoba) Le yopo est une poudre fortement hallucinogène en raison de la présence d’alcaloïdes indoliques, prisée comme le tabac. La poudre à priser est préparée avec les graines que produit l’Anadenanthera peregrina – un arbre de la famille des Légumineuses dont les fruits (gousses) contiennent entre six et douze graines. Cet arbre atteint 20 mètres de hauteur et de 60 cm de diamètre … Cemi
représente un dieu
au cours d’une cérémonie religieuse Tainos
qui selon leurs croyances religieuses
communique avec leurs dieux
en prenant
la position
de chef behique
dans le rite de Cohoba
“Il n’y a pas de mal à se faire du bien…”
Chez nous on dit que cela rend sourd, tout est visiblement une question de culture puisqu’ailleurs cela facilite la communication !
_____________________________ 🙂
L’opposition complémentaire entre le chef (cacique)
et le sorcier (behique) symbolise la dualité des frères jumeaux siamois avec l’alternance entre le jour et la nuit, le soleil et la lune, la vie et la mort. Le chef et le sorcier, tous deux chamanes, correspondent avec les esprits sous l’effet des narcotiques.
Anthropomorphe soleil
Le soleil se lève
de la grotte de Mautiabibuel
(fils de l’aube ou Seigneur de l’aube)
où il revient se cacher
quand la lune se lève.
_____________________________ Anthropomorphe lune
la lune
se lève de la grotte de Mautiatibuel
(fils de l’aube ou le dieu de l’aube),
à la tombée de la nuit
et y revient quand le soleil se lève
_____________________________
Cette dualité complémentaire symbolise le cycle de la vie.
Dieu de Cohoba
Ce dieu CEMI
portait une plaque sur sa tête,
contenant une poudre la cohoba
qui est inhalée au cours de la cérémonie religieuse propre aux Tainos.
C’est le rituel de Cohoba,
La plus importante cérémonie Tainos… Le rite de la cohoba
Au cours de cérémonies religieuses, le behíque dialogue avec les dieux. Pour cela il s’introduit dans le gosier une spatule pour vomir et se purifier avant de se livrer au Cemí puis il inhale sa poudre hallucinogène.
Parvenu à l’extase, il dialogue avec les dieux pour connaître leurs desseins.
________________________________________ Shaman ou behique “Witch Doctor”
un sorcier, qui savait tout sur les plantes, la médecine naturelle, et les substances responsables de la guérison des maladies
Prêtre qui conduit la cérémonie Cohoba et mène les rituels religieux (directeur du rite de cohoba)
Les behíques sont des chamans chargés de la vie religieuse, des pratiques curatives et divinatoires, et des rites initiatiques.
Les Taïnos, ou Tainos, sont considérés comme une ethnie amérindienne faisant partie du groupe des Arawaks, qui occupait les grandes Antilles lors de l’arrivée des Européens au XVe siècle.
Des sites de peuplement datant d’à partir du VIIIe siècle ont été répertoriés dans les Grandes Antilles, principalement à Quisqueya, renommé “La Española” (actuelle République Dominicaine et Haïti)
Les mines n’épargnent personne !
En Thaïlande, Mosha a perdu une partie de sa jambe avant droite en marchant à l’âge de sept mois sur une mine.
Transportée dans un refuge où elle était condamnée à mourir, le docteur Therdchai Jivacate, expert en amputation humaine, a décidé de la sauver.
Aujourd’hui, âgée de 3 ans, Mosha peut désormais profiter d’une jambe artificielle.
Malgré cette jambe artificielle composé de plastique, de sciures de bois et de métal, Mosha semble être acceptée par les siens dans le sanctuaire et elle permet à l’éléphant de se déplacer confortablement et peut être en cas de besoin facilement enlevé.
Rendez vous à la réception de l’ hôtel a 7h du matin. Un bus vient nous chercher pour nous emmener au petit village de Bayahibe, ancien village de pêcheurs, lieu de départ de notre excursion en bateau vers l’île de Saona.
La conduite automobile des Dominicains est le moins qu’on puisse dire particulière, mais nous arrivons entiers après une pause dans un petit commerce sur le chemin des fois que nous aurions trop de dollards sur nous !
En chemin,
nous longeons des plantations de cannes à sucre.
De Bayahibe
est prévue une excursion en “lancha”,
bateau rapide vers l’île de Saona,
située à l’extrême Sud-Est de la République Dominicaine.
Saona est la plus grande des îles de l’Espagnola (130 km2), et, fait partie du Parc National de l’Est.
Elle sert de sanctuaire à diverses espèces d’oiseaux migrateurs.
Nous voilà partis pour 45 mn de bateau à moteur avec escale dans la plus grande piscine naturelle du pays où l’on vous offre de la “vitamine” (rhum) à boire… et où l’on vous filme en vous promettant moyennant rémunération une vidéo défiant toute concurrence…
(je ne peux après expérience que vous inciter à la méfiance)
l’eau bleue turquoise à 26° nous arrive à peu près à la taille et bien sur nous trouvons les fameuses étoiles de mer rouges qu’il ne faut pas tenir hors de l’eau sous peine de les faire mourrir.
(Un banc de sable reliquat d’une tornade s’est répandu à cet endroit ce qui fait que le niveau de l’eau est très bas).
A Saona, transat, buffet , “vitamine”, massages nous sont proposés
le sable est blanc,
la mer bleue turquoise,
le soleil chaud et
les palmiers
dignes des cartes postales
si
on ne s’éloigne pas trop
du bord de plage
en direction des cabanons
où le tri des déchets
n’est pas encore vraiment en vigueur !
Pour le retour Saona vers Bayahibe nous embarquons sur un Catamaran , a voile , de 20 mètres, pour une mini croisière de 1h30, environ où le Merengue (musique locale) raisonne fort et la vitamine largement distribuée…
la bonne humeur rend le touriste généreux…
Retour à Punta Cana en bus.
Journée ramenée à 65 dollards après négociation sur les 95 proposés au départ (merci Marlène)
si on ne rajoute pas les pourboires quémandés de ci de là 🙂 !
Il est
des images
qui
se passent
de commentaires !
La mer,
le soleil,
le sable…
et les palmiers !
Que demander de plus ?
🙂
Quand vous voulez
je repars
La République Dominicaine se trouve dans les Caraïbes, entre Puerto Rico, Cuba et la Jamaïque.
Beaucoup de soleil,
le rhum “vitamine” distribué à tour de bras,
une pointe de bachata et le merengue (musique locale)
offrent la promesse de vacances de rêve
car il faut reconnaître que l’on ne va pas en République dominicaine pour son patrimoine architectural.
Retour difficile de mon séjour au ” Grand Palladium Palace Resort Spa” de Punta Cana en République Dominicaine.
Décalage horaire,
10 heures de vol…
Mais le prix
en valait la chandelle
On arrive
et le temps de récupérer
les clefs
de la chambre
et que le porteur,
en tenue coloniale,
dépose les bagages dans les chambres,
on boit le pot d’accueil…
Première surprise
ma chambre
est en fait une suite ! En ouvrant la porte,
on tombe
sur une baignoire spa
qui donne
sur un petit salon (télé, frigo rempli…)
et
en montant à l’étage
on tombe
sur la chambre !
Voilà qui commençait bien
cette escapade au bout du monde 🙂
Et tout à ma joie,
j’ouvre les rideaux
et de mon balcon
super vue
sur
des palmiers !
Soleil, mer, sable chaud… le rêve et le tout “All inclusive” Pour voir la mer, il faudra revenir demain…
avec le décalage horaire on est arrivé à 21 heures ce qui correspondait à 3 heures du matin pour vous (5 H de décalage en hiver contre 6 H en été).
A qui je pense ?
Pour la deuxième fois et désormais mensuellement, Le blog de Froufrou et Capucine propose de Mettre en scène un objet ou une action qui vous fait penser à un blog…
et nous propose de poster une photo ce 6 mars
en laissant nos visiteurs deviner à qui elle est associée…
le mois dernier j’avais retenu Tilda adicts
Devinez mon choix de mars… un indice :
Ne soyez pas fou furieux
toujours rien à voir avec la céramique 🙂
Rencontre sous les étoiles
le 8 au plus tard, je mettrai le lien du blog auquel j’ai pensé
C’est une façon de faire un petit clin d’œil à ce blog et de vous permettre
de découvrir un nouveau blog si vous ne le connaissiez pas encore….
ce qui me laisserait perplexe… Et en plus, je devrai être en chair et en os derrière mon ordi… revenue de mon escapade à Punta Cana
P.S. : un tirage au sort parmi les gagnantes
pour une mini récompense
Edit du 9 mars
bien sur c’était le site de Fohfur dont j’ai adoré la vidéo
P.S : je contacte la gagnante très bientôt 🙂
L’hiver semble propice au regroupement de tortues dites de salon…
Quatre sont nées en 2008, 12 à ce jour en 2009
(deux( (la n°5 et Michelmer)
sont déjà parties dans des familles d’adoption)
la tortue 06
encore présente ici aussi …
(rayures brillantes et mat)
en haut à gauche
En fonction des pièces, des murs, on rencontre…
devinez quoi
des éléphants
en céramique sous toutes les formes
En voici un petit aperçu ! Petite rétrospective de ma représentation de l’éléphant sur presque 10 ans 🙂
Avez vous déjà tenté de mettre un éléphant dans un cercle !
Quelques éléphants “tondo” de mes débuts qui m’ont amené à en faire mon sceau me servant de signature pour mes céramiques.
« Chercher la quadrature du cercle » !