J’y crois pas…

Alors que 2011 a un record de 23 tonnes d’ivoire saisies par les douaniers
équivalent au massacre de quelques 2500 éléphants (du Nigéria, Kenya et de la Tanzanie)…
et ce malgré l’interdiction de commerce de l’ivoire datant de 1989.
La contrebande d’ivoire est un marché florissant car plus lucratif que celui de la drogue
donc,
le carnage se poursuit pour répondre aux besoins de la Thaïlande et la Chine.

L’horreur ne s’arrête pas là…
En thailande,
La mort de deux éléphants alerte les autorités thaïlandaises sur l’existence d’’un trafic de viande d’éléphant destinée aux restaurants de Phuket où elle serait consommée crue.

En effet, dans un parc national, deux éléphants ont été retrouvés abattus avec prélèvement
des organes sexuels et de la trompe des cadavres d’éléphants…
J’allucine ! et cette viande serait consommée crue sous forme de « sashimis ».
Bon appétit !

Parce que des croyances idiotes donnent aux organes sexuels d’animaux des pouvoirs aphrodisiaques,
l’homme est assez con, escusez du peu, pour mettre en place un marché de la viande d’éléphants, en plus de celui de l’ivoire entrainant ainsi l’extinction de l’éléphant (sans parler de la souffrance animale).

CONGO : braconnage dans le parc de la Salonga

l’ICCN dénonce le braconnage à grande échelle d’animaux dans le parc de la Salonga par les populations riveraines dans le parc de la Salonga, situé dans la province de l’Equateur, ouest de la République démocratique du Congo (RDC).

– risque de connaître l’extinction de ce parc qui regorge une réserve importante d’essences et d’animaux sauvages

– abattage accru, par des éléments incontrôlés de l’armée congolaise, notamment des éléphants et des singes rouges dans la partie du parc de Salonga située dans le territoire de Dekesse.

– importante activité de vente de viande de ces animaux ainsi que de trafic de pointe d’ivoire était signalée dans cette contrée.

Créé en 1970, le parc de la Salonga est étendu sur 3.600.000 hectares dans la province de l’Equateur et sur une partie des provinces du Kasaï Occidental et de Bandundu. On y trouve notamment des Bonobos, des chimpanzés, des crocodiles, des hippopotames, des éléphants, des singes rouges. Il est parmi les huit parcs nationaux que compte la RDC et il est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.

article integral

Le Zimbabwe veut la mort de ses éléphants

Le Zimbabwe a décidé de réduire le nombre de ses éléphants et d’exploiter cette « ressource durable » en commercialisant localement la viande d’éléphants séchée appelée « biltong ».

 

Le plan ne sera opérationnel que cette année, après la construction d’abattoirs.

Le plan prévoit l’abattage de 6000 animaux par an. Actuellement, le Zimbabwe autorise l’abattage de 500 pachydermes par an.

400 000 animaux qui font l’objet d’un plan de gestion de la part des pays suscités qui cherchent à résoudre le problème de surpopulation. Chacun de ces pays optera pour la solution qu’il jugera la moins coûteuse : contraception, abattage ou translocation.

article integral

Voir aussi l’article dans l’éléphant tout est bon… !

ZIMBABWE • Dans l’éléphant, tout est bon ?

ZIMBABWEDans l’éléphant, tout est bon ?

Afin de réduire le nombre d’éléphants, qui nuisent à l’environnement, les autorités zimbabwéennes envisagent d’augmenter les quotas annuels de pachydermes à abattre. Elles souhaitent sécher la viande pour la rendre propre à la consommation humaine.

ARTICLE INTEGRAL

Non mais, là…, si j’avais encore des doutes, je deviens vraiment végétarienne !

et rassurez moi dites moi que cela vous fait le même effet…

proverbe chinois ” Avec un coeur avide, un serpent peut même avaler un éléphant “