Ruches contre incursions d’éléphants

Qui a dit que les éléphants ont peur des souris ?
Que nenni, des chercheurs ont découvert que c’est des abeilles que les éléphants ont peur. Au Kenya, des clôtures expérimentales faites de piquets, barbelés et de ruches ont permis de réduire de moitié les incursions d’éléphants dans les champs. abeille Vous vous demandez pourquoi !
Simplement parce qu’il arrive que des abeilles piquent l’éléphant autour des yeux ou à l’intérieur de la trompe, une mésaventure qu’ il n’oubliera jamais, la mémoire ça sert…
Et comme notre animal n’est pas idiot, il retient la leçon et évitera de se retrouver sur le chemin des abeilles.

D’autres projets sont actuellement en cours pour validation de cette trouvaille car ce type de clôtures serait une solution pour mettre fin à des années de conflits entre cultivateurs et éléphants.
elephantAu Kenya,
les éléphants se déplacent librement car ils ne sont pas enfermés dans des parcs naturels ou des réserves,
et,
du fait, ils traversent des terres récemment défrichées par des éleveurs que l’on a encouragés à se sédentariser et à cultiver.
L’éléphant est friand de tomates mûres, de pommes de terre et de maïs donc quand il trouve, il mange…
Et les paysans n’hésitent pas à les tuer ou les empoisonner pour protéger leur récolte.

De nombreuses recherches depuis plusieurs années ont montré que
– les éléphants évitaient les arbres dans lesquelles des abeilles avaient construit une ruche
– les éléphants passaient plus rapidement leur chemin dès qu’ils entendaient le bourdonnement d’une ruche d’abeilles.
– les incursions avaient été réduites de moitié depuis la construction de ces clôtures, et les habitants du village de la région de Laikipia dans le sud du Kenya ont été tellement satisfaits des résultats qu’ils ont entrepris, à leurs frais, d’étendre la clôture.

Disparition Michel Tetaert

Parce que le sort de tout homme nous concerne nous qui faisons partie de l’humanité,
je me permets de faire le relai de cet appel lancé par un Grand-Père Jean-Luc pour retrouver son petit fils disparu


Michel né le 01 mars 1992 à Tourcoing (59) disparu le 10 août 2008 à Bobigny (93) a quitté le domicile familial (à Bobigny 93) le 10 août dernier, probablement à la suite d’une dispute avec ses parents. Il est parti sans rien emporter, ni papiers d’identité, ni effets ou objets personnels et avec 10 € en poche.

Sa famille redoute qu’il puisse être en danger, exposé aux dangers de l’errance et de la précarité.
Aidez sa famille à trouver des indices, des idées. Soyons une grande chaîne de solidarité…
Merci d’avance pour eux.

Blog du Grand Père Jean-Luc

Voilà une petite goutte d’eau dans l’océan
mais qui sait à force de relayer l’information, quelqu’un croisera peut être le bleu regard de Michel…

PS : ATTENTION ! MICHEL AURAIT ETE VU DEUX FOIS A LILLE. UNE FOIS PORTE D’ARRAS ET UNE FOIS PORTE DE DOUAI – OUVREZ L’OEIL !

Son signalement est le suivant: 1m76, yeux bleus, cheveux châtains.
Il est toujours vêtu de sombre (noir ou gris)

Edit du 19 janvier 2009
Michel a été retrouvé cette nuit…
Que du bonheur !

le bourdonnement des abeilles africaines peut faire fuir un troupeau d’éléphants

Des chercheurs de l’Université d’Oxford ont découvert que le bourdonnement des abeilles africaines peut faire fuir rien de moins qu’un troupeau d’éléphants.

« Près de la moitié du troupeau d’éléphants a fuit à peine dix secondes après avoir entendu l’enregistrement du bourdonnement d’abeilles », affirme Lucy King, zoologue britannique responsable de cette étude réalisée au Kenya.

Parce qu’il est déjà arrivé que les abeilles attaquent en groupe des éléphants, « ceux-ci s’en souviennent et ont peur ».

Afrique : Eléphants, fourmis et acacias

équilibre et fragilité de l’éco-système

Les relations entre les grands herbivores, comme les éléphants, avec les acacias et certaines variétés de fourmis en Afrique, sont exemplaires du bon fonctionnement de l’écosystème et de ses fragilités.

Les acacias sont des arbres très communs dans les régions tropicales, sub-sahariennes et la savane en Afrique.Ils ont de grosses épines qui servent de nids à trois espèces de fourmis piqueuses. Certains arbres sont pourvus de centaines de ces épines creuses et abritent plus de 100.000 fourmis chacun.

Ces insectes et les acacias bénéficient mutuellement de cette cohabitation : Les fourmis peuvent y trouver un abri ainsi que leur nourriture avec le nectar produit par les feuilles de l’arbre. Dans la mesure où les fourmis s’érigent en défense contre toute agression des acacias qu’elles habitent, ces arbres bénéficient d’une protection contre les mammifères herbivores comme les girafes et éléphants qui ne peuvent pas ainsi totalement les détruire.

texte integral

Continuer la lecture de « Afrique : Eléphants, fourmis et acacias »