Secrets de four 11

On arrive en Octobre, voilà bientôt un an que je joue avec mon four
Les résultats ne sont point encore spectaculaires
mais on va se dire,
car il faut positiver,
qu’il y a un progrès, léger j’en conviens, mais progrès quand même…
Pour rassurer, Martine,
je dirai qu’il n’y a pas encore de quoi avoir la “grosse tête”… 🙂
La consolation est que chaque pièce est unique et que même dans les cas où je joue à la reproduire
comme mes cœurs par exemple, ils arrivent à rester différents tout en étant pareils…
Ce doit être la particularité du “fait main”… et sans pousser le vice trop loin, je dirai même que leurs défauts les mettent en valeur mutuellement ! (je vous avais prévenu, il faut PO SI TI VER !)

Autant on peut mettre plein de choses dans un four à biscuit,
puisque les pièces peuvent être “entassées”
avec prudence tout de même
autant, dès qu’il s’agit d’émaillage,
il faut être prudent
les pièces ne doivent en aucun cas se toucher entre elles
sous peine de se souder entre elles
donc avec un four à biscuit, je fais facilement deux fours d’émail…


chat,
coeur,
cloche,
hérisson,
moule à kouglof,
boutons,
boules de noël,
barrettes paréo “éléphant”…
ont pris place dans le premier four

entonnoir,
plaque d’atelier,
cendrier cochon,
sous-plat,
planchettes (gondolées mais émaillées tout de même)
cœurs ,
porte-encens,
porte-cartes,
et diverses suspension dans le second