Mon Marc à moi
qui bien qu’à moi
n’est plus à moi
fête ses 22 ans ce mois
le temps est sournois…
Fini le temps où l’on pouvait encore jouer à la poupée…
Il faut se consoler…
Maintenant, pour le rencontrer,
il convient de courir les salles de handball, faire de la plongée, ou enfourcher une moto…
Cette variété de Marc, rare et précieuse,
se rencontre aussi dans les salles obscures le temps d’un film, ou pendu à un micro en susurrant des chansons tendres… le temps d’un karaoké.
Pour le voir, ténor du barreau,
il faudra encore un peu patienter…
Donc pour l’instant
je voudrai juste
à cet enfant qui ne tient plus sur mes genoux depuis quelques temps
et qui est devenu cet adulte serviable,
charmant,
mordant la vie à pleines dents
souhaiter
un
très
joyeux
anniversaire.